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Ishiro Kishimi, auteur du livre à succès « Avoir le courage de ne pas être aimé », est un penseur influent dont les idées ont le potentiel de transformer le monde des affaires. Dans cet article, nous explorerons sa biographie et comment ses enseignements peuvent être appliqués au management inclusif et à la création d’entreprises.


Ishiro Kishimi est un philosophe et auteur japonais connu pour ses travaux sur la psychologie individuelle. Son livre « Avoir le courage de ne pas être aimé » a été un best-seller international, traduit en plusieurs langues et vendu à des millions d’exemplaires à travers le monde.


Le livre présente une approche révolutionnaire de la vie personnelle et professionnelle, basée sur les enseignements du psychologue Alfred Adler. Kishimi soutient que le courage d’être soi-même, indépendamment de l’opinion des autres, est la clé de la liberté personnelle et du succès.


Ces idées ont des implications profondes pour le management inclusif et la création d’entreprises. En encourageant l’individualité et en valorisant chaque membre de l’équipe pour ses contributions uniques, les entreprises peuvent créer un environnement de travail plus inclusif et productif. 

De plus, en ayant le courage de prendre des risques et de défier le statu quo, les entrepreneurs peuvent innover et réussir dans un monde des affaires en constante évolution.


Les enseignements de Ishiro Kishimi offrent une perspective précieuse pour ceux qui cherchent à transformer leur approche du management et de la création d’entreprises.

 En adoptant le courage de ne pas être aimé, nous pouvons tous contribuer à créer des entreprises plus inclusives et réussies.


Quelques mots sur Alfred Adler 

Alfred Adler était un médecin et psychothérapeute autrichien, connu pour être le fondateur de la psychologie individuelle. Sa philosophie se distingue par plusieurs principes clés :

Sentiment d’infériorité : 

Adler croyait que chaque individu naît avec un sentiment d’infériorité, résultant de la dépendance de l’enfant envers ses parents et de sa faiblesse physique. Ce sentiment motive l’individu à s’améliorer et à atteindre la supériorité.

Compensation : 

Pour Adler, les individus cherchent à compenser leur sentiment d’infériorité en développant leurs compétences et leurs talents. Ce processus de compensation peut conduire à un développement personnel significatif.

Style de vie : 

Adler a introduit le concept de « style de vie », qui est un ensemble de comportements et de croyances adoptés par un individu pour faire face à la vie. Ce style de vie est formé tôt dans l’enfance et reste relativement constant tout au long de la vie.

Intérêt social : 

Adler a souligné l’importance de l’intérêt social, ou le désir d’aider et de coopérer avec les autres pour le bien de la communauté. Il considérait l’intérêt social comme un indicateur clé de la santé mentale.

Holisme : 

Adler croyait que les individus doivent être compris dans leur ensemble, et non par l’analyse de leurs comportements individuels ou de leurs symptômes. Il a insisté sur le fait que l’individu et son environnement sont indissociables.


La philosophie d’Adler diffère de celles de ses contemporains, comme Sigmund Freud et Carl Jung. Par exemple, contrairement à Freud qui mettait l’accent sur les pulsions sexuelles et inconscientes, Adler se concentrait sur les sentiments d’infériorité et de supériorité, et sur l’importance de l’intérêt social. De plus, alors que Jung se concentrait sur l’individuation et l’exploration de l’inconscient collectif, Adler mettait l’accent sur la coopération sociale et le développement personnel.


La philosophie d’Adler a eu une influence significative sur la psychologie et la psychothérapie, et ses idées sont toujours largement utilisées et respectées aujourd’hui.

Article rédigé en collaboration avec chatGpt