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La gouvernance partagée est un modèle de gouvernance qui met l’accent sur la participation active et égale des membres d’une organisation ou d’une communauté dans le processus décisionnel. Les principes de la gouvernance partagée comprennent :
- La prise de décision collective : les décisions sont prises en groupe, avec chaque membre ayant une voix égale dans le processus décisionnel. Les décisions sont prises par consentement plutôt que par vote majoritaire.
- La transparence : les informations sont partagées ouvertement, de manière à ce que chaque membre de l’organisation soit informé de toutes les décisions, processus et événements pertinents.
- La responsabilité : chaque membre est responsable de sa contribution à l’organisation et doit rendre compte de ses actions aux autres membres.
- La confiance : la confiance mutuelle est une condition sine qua non de la gouvernance partagée. Les membres doivent être en mesure de se faire confiance et de respecter les décisions prises par le groupe.
- La participation équitable : tous les membres ont la possibilité de participer de manière équitable aux décisions et processus, quelle que soit leur position ou leur rôle dans l’organisation.
- La collaboration : la collaboration est essentielle pour la gouvernance partagée. Les membres travaillent ensemble pour atteindre des objectifs communs.
- La résolution de conflits : les conflits sont inévitables dans toute organisation. Dans la gouvernance partagée, les conflits sont résolus par le dialogue et la négociation pour trouver des solutions qui conviennent à tous les membres.
Ces principes visent à créer une culture organisationnelle qui encourage la coopération, la créativité et l’engagement des membres dans la prise de décisions et la réalisation des objectifs communs.
En quoi la gouvernance partagée est-elle inclusive ?
La gouvernance partagée est inclusive car elle encourage la participation active de tous les membres d’une organisation ou d’une communauté, quelle que soit leur position, leur rôle ou leur niveau d’expertise. Cela signifie que les personnes qui étaient traditionnellement exclues des processus décisionnels, telles que les minorités, les groupes marginalisés ou les personnes qui ont moins de pouvoir, ont une voix égale dans la prise de décision.
De plus, la gouvernance partagée met l’accent sur l’importance de la diversité et de l’inclusion dans le processus décisionnel. Elle reconnaît que la diversité des perspectives, des expériences et des connaissances est essentielle pour prendre des décisions éclairées et efficaces. En conséquence, elle encourage activement la participation de personnes ayant des antécédents et des expériences différents, afin de garantir que les décisions prises prennent en compte les intérêts de tous les membres de l’organisation.
En fin de compte, la gouvernance partagée favorise une culture organisationnelle inclusive et collaborative, où chaque membre est encouragé à contribuer de manière égale et à se sentir investi dans le processus décisionnel. Cela peut aider à créer un sentiment de confiance, de respect mutuel et d’engagement envers les objectifs communs, ce qui peut conduire à une prise de décision plus efficace et plus juste.
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